La Belgique, belle et chic, et toujours dans son sillon, ses artistes qui ferait pâlir l'électeur de comités phonographiques, dont les critiques décernent des Grand Prix, badge de qualité. Etiquette collée sur l'artiste, épiderme et puis Merde, autant sortir un 45 qui décoiffe et remet les idées en place. Une décoction sacrément passée à l'acide. LSD ? Ce poison incolore, indétectable hormis quand tout se met en branle ! Ils finiront dans l'infini. Désir illusoire d'un succès sans espoir. Qu'envier aux Français, ces colporteurs des mêmes rimes, des pauvres mots, dont la chanson devient détresse.
Jo Alan a une carrière et une longévité musicale qui s'orientera le temps d'une année à prêcher la bonne parole. Avez-vous déjà écouté Les Bons Conseils de Monsieur ?
Allons donc droit au sujet qui nous préoccupe, à savoir la face A. On en reparle après ?
Z'avez pas vus arriver la face B ? Avec Le Prédicateur, on change de registre, ça monte d'un cran et le monument est déjà taillé avant même qu'il n'ait été sculpté. Production massive, paroxysme textuel ! Il est encore temps de vous expier de vos fautes. Tel un pasteur, Jo Alan remet la thématique sur le 45 tours suivant. Affaire à suivre.
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