Soyons honnêtes avec nous-mêmes, nous sommes les spectateurs d'un théatre balisé vers un isoloir réservés aux clébards. Dans une réalité parallèle, chacun d'entre-nous se sentirait concerné par la grande enculerie généralisée....
Kweuâââ??? vous vous sentez visés ??? Vous ignorez que les restrictions liberticides allaient devenir le mode normal de gestion du parc humain à l'avenir ?
Aux Journalistes qui se contentent de reprendre servilement les éléments de langage et les narratifs du pouvoir, il faut aussi pouvoir entraver et surveiller les citoyens. Ainsi, pour être conforme à l'actualité et la lente dérive de la démocracra, autant faire de la propagande par le disque et rejouer les refrains du RPR et des vieux dinosaures ayant malheureusement survécus à l'extinction du droitard bas du front. Autant pour la gauche, qui en plus est l'égal de ses ennemis, nous voici donc condamnés à subir les tribulations d'une seule élite. Pour enrober la résignation, allons y de notre couplet et osons l'interdit.
Loin du maquis, plus proche de la SERP.
Est-il utile de présenter l'icône de la chanson droitarde ? Jean Pax-Méfret en 1974, avec Le Chanteur de l'Occident, est l'auteur de la chanson de droite populiste le plus célèbre. "Vous allez me traiter de réac" est son album le plus .... réactionnaire !
La chanson contestataire connaîtra son apogée sur deux décennies, les partis politiques éditeront lors de campagnes présidentielles, des tirages consacrés à leurs candidats sous la forme d'extraits de discours ou de chansons propagandistes.
Jean Paul Lo Cicéro enregistrera entre 1962 et 1968, une série de compositions. Inspiré des poèmes de Brasillach, il publie un long format avec la participation de Dominique Blanc Francard. Farouche opposant au communisme, c'est en 1975 que son 45 tours le plus marginal, plus proche de la chanson, est enregistré. Un peu comme si Jean Edern Hallier aurait enregistré " Chagrin d'amour"....
Tiré à 1000 exemplaires, l'hymne des pieds-noirs est sorti en 1968. Sous le pseudonyme de Jean-Noël Michelet, alias Jean Pax Méfret, sur un micro-label Recherche - Exploitation des idées, le compositeur est toujours aussi obsédé par une nostalgie maladive.
